En Une : Justine DUPONT. Elle s’est imposée dans le surf professionnel jusqu’à en devenir une figure incontournable. Championne de France, d’Europe et du monde, elle a remporté de nombreux titres, avant de se consacrer à la catégorie la plus extrême : le surf de grosses vagues qui culminent à plus de 20 mètres de hauteur. L’équivalent d’un bâtiment de cinq étages. Depuis 2012, la sportive de 31 ans s’illustre sur les tubes gigantesques des spots les plus convoités de la planète, Nazaré au Portugal, Belharra dans les Pyrénées-Atlantiques ou encore Cortes Bank en Californie. En 2019, elle fut élue meilleure surfeuse de grosses vagues au monde. Un titre qui s’ajoute à de multiples récompenses mondiales aux World Surf League XXL Awards. La Girondine, en quête de sensations et de records, revient sur ses débuts dans un sport où elle collectionne les “premières” en tant que femme, mais aussi sur sa vision de la discipline et ses évolutions
Un dossier : Les sportives se maquillent, et alors ? Des athlètes témoignent sans fard ; la marathonniène Anais Quemener, la handballeuse Laura Flippes, la basketteuse Laetitia Guapo, l’athlète Floria Guei, et l’influenceuse Sissy Mua. Trait d’eyeliner, mascara sur les cils, ongles vernis…Des sportives, professionnelles comme amatrices, se maquillent, particulièrement en compétition. Cet attachement à soigner son apparence semble répondre à la nécessité de gagner en confiance en soi et de marquer sa féminité, y compris face aux caméras. Pour autant, comment se libérer des injonctions sociétales tout en restant soi-même ?
De la recherche : Supportérisme et sécurité dans les stades : où sont les femmes ? À l’approche de grandes compétitions, en premier lieu des Jeux de Paris 2024, la féminisation des stades et l’accueil des supportrices est un enjeu prioritaire pour assurer la mixité de ces lieux et un maximum de sécurité.
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